L’allure elliptique d’une photographie — de par sa réduction drastique de ce qui est — donne ce sentiment d’indécidabilité qui participe à son étrangeté. Celui qui la regarde convoque donc une autre image pour accompagner la première, puis une autre, peut-être, en guise de réassurance, tel un grimpeur à mains nues où trois prises sont nécessaires à sa survie. Pourtant, il devra lâcher ces images associées au fil de son escalade pour avancer.